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vendredi 28 janvier 2011

la tolerance dans la plus belle et la seule vrai religion du monde l`islam

voila une video de la tolerance dans lìslam http://www.youtube.com/watch?v=nXUwZ7jaLwY

la tolerance dans l`islam cest fantastic

La question de la tolérance et de « l’Islam » est devenue lassante, non seulement parce qu’on écrit trop à ce sujet, mais surtout parce qu’on en dit n’importe quoi, notamment dans les films. Les feuilletons américains, axés sur l’affrontement entre le gentil sauveur (américain) et le méchant terroriste (islamique), ne contribuent ni à l’équité, ni à la paix. Et les événements du Proche-Orient ne cessent d’envenimer les débats.
En fait, sommes-nous devant de simples divergences de nature politique, économique ou autre ? Les problèmes résultent-ils simplement d’une méconnaissance de l’autre, de sorte qu’ils pourraient être résolus par des efforts de « dialogue » basés sur une compréhension mutuelle ? D’aucuns continuent de le croire sous peine de désespérer, mais l’ensemble des études rassemblées dans Le messie et son prophète apporte une réponse clairement négative, et cela pour une raison simple qui ne dépend pas de la bonne volonté des uns ou des autres : ce qui est en jeu, aujourd’hui plus que jamais, ce sont des logiques « d’opposition entre le bien et le mal ».
Sur de telles logiques, les « dialogues » n’ont pas de prise. Il faut donc les regarder en face. Ce qui peut même devenir ensuite l’objet d’un dialogue – lequel sera alors éminemment fructueux. La difficulté est d’abord de connaître, et plus encore de reconnaître ces logiques qui ne sont pas rationnelles et qui sont pourtant omniprésentes.
Le discours dominant développe une telle logique sous l’aspect de l’opposition entre l’émancipation de l’homme et l’influence de « la religion » : la foi en Dieu constituerait en soi un danger fait de contrainte et de terrorisme pour la liberté humaine ou pour la société. Dans le discours inverse, celui de l’islam, c’est l’hédonisme individuel et la destruction des liens humains qui constituent « le Mal », dû à l’égarement loin de Dieu.
Cette présente étude se limite à regarder ce qui, dans le Coran, exprime l’opposition entre le bien et le mal, et cela sous l’aspect de la tolérance à avoir (ou à ne pas avoir) envers les personnes.

mercredi 26 janvier 2011

alhoceima un gout de paradis

La région d’Al Hoceima fut longtemps difficile d’accès ; jusqu’en 1959 d’ailleurs, cette ancienne « Zone Nord » occupée par l’Espagne, était pauvrement desservie. Depuis, un important effort d’aménagement a permis d’élargir l’axe Chefchaouan-Al Hoceima-Melilla, qui est devenue une route forte agréable.
Mais au moyen-age l’isolement de toute cette région était réel ; Au point qu’elle fut presque totalement coupée du Maroc, et qu’un éphémère petit royaume, l’EMIRATE DU NEKOR, y vit le jour.
Au XVIIeme siècle, la position privilégiée de ce qui plus tard deviendra Al Hoceima. La ville que nous connaissons aujourd’hui ne fut fondée qu’en 1920. Avant son occupation par l’Espagne, la zone d’Al Hoceima était connue sous le nom de « TAGHZOUT », qui signifie terres agricoles fertiles
En 1926, le roi d’Espagne ALFONSO XIII, lors d’une visite qu’il a effectuée dans la région, lui a donné le nom de « VILLA SANJURJO » à la mémoire du général espagnol SANJURJO, qui a occupé cette région.
Elle conserva cette appellation jusqu’à 1936, date à laquelle on lui a substitué le nom « AL KHOZAMA », sorte de plante très répandue dans les environs de l’îlot NECKOR.
A l’indépendance le nom de la ville devient AL HOCEIMA
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